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Panoptique

Une production du Collectif Meute

conception Sarah Théry

en co-production avec l'Opéra de Lille

télécharger ICI LE DOSSIER DE DIFFUSION

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Équipe artistique

Claire Pasquier : mise en scène

Sarah Théry : conception

Clémence Kazemy : scénographie

Marco Giusti : lumières

Camille Giugliaris : dispositif sonore spatialisé

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Avec

FLÛTE, CONTREBASSON, KIWI / Quentin Manfroy

BASSE, SYNTHÉTISEUR / Gil Mortio

PIANO, SYNTHÉTISEUR / Christia Hudziy

CHANT LYRIQUE /Sarah Thery

​CHANT / Karim Garbhi

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PANOPTIQUE 

PERFORMANCE ÉLECTRO LYRIQUE IMMERSIVE

 

COMMENT ENTRER EN ACTION QUAND IL N’Y A PAS D’HORIZON ?

A la confluence de l’opéra, de la performance et de la recherche, Panoptique est une réécriture collaborative et participative librement inspirée du cycle de 24 lieder de Franz Schubert. Le résultat d’un parcours de trois ans à la rencontre des personnes qui peuplent les milieux fermés carcéraux et psychiatriques. Les détenus, les patients, les soignants, le personnel pénitentiaire sont ici à la fois les compositeur.ice.s, les librettistes et les protagonistes de la création.

 

PANOPTIQUE est une occasion de faire entendre les voix de celles et ceux dont l’espace s’est réduit. Au voix des participant.e.s s’ajoutent celles de cinq musiciens, une voix lyrique, un piano, une flûte, des instruments électro-acoustiques. Par delà les murs, musicien.ne.s et participant.es entrent en dialogue. Ce qui se joue sur scène, c'est une histoire contemporaine de l’enfermement. A la partition pour voix et piano de Franz Schubert viennent s’insérer des sons du quotidien des participant.e.s, sons qui deviennent eux aussi musique. Une musique obsédante, entêtante, électronique. La redécouverte du texte de Wilhelm Müller à travers leurs yeux nous permet de voyager dans l’espace et dans le temps. En écho à ce narrateur lointain, leurs paroles expertes viennent questionner l’enfermement aujourd’hui, cette notion aussi intime que sociétale.

 

L’espace scénique lui-même devient protagoniste, cet espace oppressant, aliénant. Il s’agit ici de le vivre et non de le voir. Des dispositifs sonores et immersifs obligent alors les publics à être à la fois spectateur.ices et acteur.ices de ce qui se joue sur scène : l’enfermement physique et mental d’un narrateur qui tourne en rond.

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